Vous n'avez pas besoin d'intermédiaire pour obtenir une traduction certifiée !
Les dispositions de l'article 22 (1) (a) de la loi no. 382/2004 établit que le traducteur certifié effectuera lui-même tous ses travaux de traduction, y compris la reliure et le scellement de la traduction.
Les traductions certifiées sont considérées comme des documents judiciaires publics, c'est-à-dire des documents délivrés ou authentifiés par des organismes nationaux ou des agents publics agissant sous les auspices du ministère de la Justice de la République slovaque. Avez-vous déjà vu ou imaginé un agent public, qui pourrait confier à n'importe quel intermédiaire sans scrupules des feuilles de papier vierges portant sa signature et son sceau officiel dans l'intention de faire relier et sceller des actes judiciaires publics en son absence et en son nom ?
Les dispositions de l'article 23 (2) de la loi no. 382/2004 et l'article 19 du décret 228/2018 précisent les exigences en matière de traductions certifiées. Par conséquent, lorsque les empreintes du cachet du traducteur certifié chevauchent pas l'étiquette de cachetage sur les deux bords opposés, une telle « traduction certifiée » est souvent fournie même par une « agence des traductions renommée » (!) moyennant des honoraires "intéressants" ou dumping. Avec un niveau de probabilité élevé, il ne s’agira que d’une véritable imitation, même s’il s’agit du travail parfait. Aucune agence de traduction ne peut présenter la preuve que ladite « traduction juridique » a bien été réalisée par le traducteur assermenté soussigné (!). Si cette traduction avait effectivement été réalisée personnellement par le traducteur assermenté soussigné, il l'aurait également tamponnée lui-même.