rosetta

Traductions certifiées

Forme légale

  • Je suis traducteur (mais pas interprète) certifié pour les langues de départ / d'arrivée: anglais et slovaque.
  • Depuis juin 2007, ju avais été inscrit sous No. 970860 dans la liste tenue par Ministère de Justice de la République slovaque
  • Je ne suis pas payeur de TVA.
  • Il y a toujours une possibilité de négocier pour vous un traducteur assermenté pour les langues de départ / d'arrivée: français et slovaque.

Les règlements qui définissent ma qualité

  • C’est le Loi n˚382/2004 sur les témoins experts, interprètes et traducteurs assermentés, en son dernier modification par le lois n˚ 65/2018, qui sont les règlements fondamental pour définir ma qualité.
  • C’est le Décret du MoJ SR n° 228/2018 pour appliquer la loi n° 382/2004 et préciser — entre autres et avec la loi — les conditions requises pour un projet de traduction juridique.
  • C’est le Décret du MJ RS n° 491/2004 sur la rémunération et le remboursement d'autres dépenses imprévues des experts, interprètes et traducteurs devant les tribunaux dans sa rédaction actuelle du 1er août 2018

Assurance contre les dommages causés aux clients

  • Aux termes de l’article 9 du Loi n˚382/2004 j’ai signé un contrat d’assurance avec la compagnie d’assurances Allianz contre les dommages éventuels causés à mes clients et dûs àmon activité du traducteur assermenté.

Instructions sur et conditions de livraison des documents à traduire et des projets de traduction complétés

  • Après l’accord on livre l’original, un duplicata ou une copie notariée, le cas échéant apostillée avec une copie (c’est-à-dire tous les empreints et l’apostille inclus) ; je toujours fait une copie pour mon archive ; le projet complété et lié se prennent par le client en personne et après l’accord.
  • On me livre le document à traduire et on expédie le projet de traduit par des envois recommandé ou par un courrier.
  • On transmet à moi le fichier contenant les documents à traduire (c’est-à-dire tous les empreints et l’apostille inclus) scannés par courrier électronique ou aucun autre outil de l’Internet − en pareil cas j’ai l’habitude de préparer la traduction préalablement; à la fin et après l’accord le client délivre l’original du document que je vérifie et lie avec ma traduction; ensuite je le remets au client ou le envoyé par le post recommandé.
  • Après l’accord avec le client, je peux venir chez le client, où j’apporte la traduction déjà préparée pour que je la lie avec l’original.
  • Si le client souhaite fournir le document à traduire la traduction en version électronique, il suffit que le il me l’envoyera accompagné et - le cas échéant - de la clause d'authentification, de la signature électronique qualifiée et du cachet électronique qualifié qui y sont attaché. Dans tous les cas, j'ai besoin de connaître combien des double il faut réaliser, car chaque double se voit attribuer son outil d'authentification unique respectif. Ensuite, je vous fournirai la copie papier de la traduction ou l'enverrai à vous par courrier électronique, accompagnées de ma signature électronique qualifiée et de mon cachet électronique qualifié.

Mode du paiement et les frais pour une traduction certifiée

  • Puisqu'il ne s'agisse pas d'une activité commerciale selon le Code Commercial, suivant le loi n˚382/2004 ces sont les énumérations (pas factures) qui se délivrent dans cet ordre comme pièces fiscaux.
  • Le prix se base de 20 euros per page pour les traductions certifiées se calcule à partir des pages-types du document complété en la lange cible, c’est-à-dire 1 page–type (PT) équivaut 1,800 caractères et mots (c’est-à-dire 30 lignes chaque avec 60 caractères et mots).
  • Le prix pour l'exécution urgente d'une traduction certifiée est basé sur la date de livraison requise et la nature du document avec des frais supplémentaires de 50% à 100% du prix de base.
  • Je ferai bien entendu des duplicatas de la traduction pour un prix forfaitaire de 3 euros chacun ; cependant, si nécessaire, on doit fournir le nombre approprié d'originaux ou de copies certifiées conformes du document destiné à la traduction.
  • Je ferai bien entendu des copies supplémentaire de la traduction moyennant un prix forfaitaire de 5 euros chacune; les traductions des documents sont archivées pendant 10 ans ; cependant, chaque copie recevra un nouveau numéro de série dans mon journal.
  • On charge au minimum pour 1 page-type.
  • Je préfère payer par virement bancaire, via une passerelle de paiement ou par dépôt sur le compte ; cependant, dans des cas exceptionnels, vous pouvez également me payer en espèces.
  • Chaque projet de traduction fait suivant le loi n˚382/2004 (c’est-à-dire pas des duplicata du même projet) est un document séparé, qui se registre dans mon journal du traducteur sous son propre numéro unique; à ce titre veuillez être complaisants de ne pas demander de moi des rabais pour la raison de quantité, car je agirait en contradiction avec le loi.

À partir de non seulement mes expériences personnels que j’ai acquis depuis ma registration comme traducteur certifié, je dois diriger vous aimable attention au ce que suive :

    Vous n'avez pas besoin d'intermédiaire pour obtenir une traduction certifiée !

    Les dispositions de l'article 22 (1) (a) de la loi no. 382/2004 établit que le traducteur certifié effectuera lui-même tous ses travaux de traduction, y compris la reliure et le scellement de la traduction.

    Les traductions certifiées sont considérées comme des documents judiciaires publics, c'est-à-dire des documents délivrés ou authentifiés par des organismes nationaux ou des agents publics agissant sous les auspices du ministère de la Justice de la République slovaque. Avez-vous déjà vu ou imaginé un agent public, qui pourrait confier à n'importe quel intermédiaire sans scrupules des feuilles de papier vierges portant sa signature et son sceau officiel dans l'intention de faire relier et sceller des actes judiciaires publics en son absence et en son nom ?

    Les dispositions de l'article 23 (2) de la loi no. 382/2004 et l'article 19 du décret 228/2018 précisent les exigences en matière de traductions certifiées. Par conséquent, lorsque les empreintes du cachet du traducteur certifié chevauchent pas l'étiquette de cachetage sur les deux bords opposés, une telle « traduction certifiée » est souvent fournie même par une « agence des traductions renommée » (!) moyennant des honoraires "intéressants" ou dumping. Avec un niveau de probabilité élevé, il ne s’agira que d’une véritable imitation, même s’il s’agit du travail parfait. Aucune agence de traduction ne peut présenter la preuve que ladite « traduction juridique » a bien été réalisée par le traducteur assermenté soussigné (!). Si cette traduction avait effectivement été réalisée personnellement par le traducteur assermenté soussigné, il l'aurait également tamponnée lui-même.